Rallye de Grande-Bretagne

Quatre équipages du Tacot Club Calaisien sont allés passer les 14 et 15 août dans le Kent.

Parmi ces 4 équipages, 2 n’avaient jamais conduit en Grande-Bretagne et tout s’est très bien passé et ils sont prêts à récidiver.

La traversée avec la P&O s’est vue retardée de près d’une heure le dimanche matin mais cela ne perturba pas l’organisation car il y avait suffisamment de marge dans le programme.

La route emmena les équipages jusqu’à Hythe qui était le point de rencontre avec nos amis anglais au nombre de 4 équipages également mais aussi le point de départ de la promenade à bord du RH&DR railway, train à vapeur qui a 95 années d’existence et qui rejoint Hythe à Dungeness par un parcours d’environ 22km. L’écartement des voies est de 380mm et les voitures et motrices sont à l’échelle.

La météo nous a permis de faire une promenade très agréable. Nos voitures nous ont ensuite emmenés à Tenterden au White Lion où nous attendaient le gîte et le couvert. La soirée fut chaleureuse et la barrière de la langue ne posa guère de problèmes aux convives.

Le lendemain matin, une promenade d’environ 50km a permis de découvrir les routes étroites et bordées de haies et d’arbres qui parfois forment un tunnel couvrant la route, et nous amena à Penshurst Place pour y visiter ce manoir dont l’essentiel remonte au XIVème siècle. Après un café de bienvenue, la visite se fit en 2 groupes, l’un en langue anglaise, l’autre en français, et nous avons ainsi pu découvrir l’histoire de la famille Sidney qui possède ce manoir depuis 1552 et y découvrir aussi des objets décoratifs et des meubles de très belle facture des 16ème et 17ème siècles.

Après cette visite un repas était réservé dans un restaurant situé dans le village et le début d’après-midi permit de découvrir une partie des jardins du manoir qui sont réputés pour leur beauté.

A 15h00, il était temps de se séparer de nos amis anglais, que nous retrouverons à l’Amble d’automne dans quelques semaines, et de reprendre la route vers Douvres. Les 100km se sont faits en grande partie, là encore, par de jolies routes sinueuses comme il convient à nos voitures anciennes qui se sont trouvées toutes quatre à l’heure sans aucun incident pour l’embarquement à Douvres.

Salon Poids Lourd

Le Salon du Poids Lourd d’Audruicq a eu lieu les 6 et 7 Mai.

Ce salon est organisé conjointement par la FNTR (Fédération Nationale des Transports Routiers) et le TCC. Il ne reste plus que 3 salons en France dédiés aux véhicules utilitaires et aux poids lourds, ce qui fait la force de ce salon qui a accueilli, selon les derniers décomptes, environ 5000 personnes. Il s’agissait de la 19ème édition et on y trouvait 70 exposants du métier du transport au sens large.

Mais plutôt que de longs discours, voici les photos.

Tout d’abord, celles de l’installation qui a nécessité, entre autres, le montage d’un chapiteau de plus de 2000m2.

Il fallait bien sûr assurer un peu l’intendance pendant ces journées de préparation. Le beau temps aidant, il fut même possible de manger dehors. Il faut remercier ces dames du TCC qui ont assuré ce service.

Le vendredi à 14h00, c’était l’heure de l’inauguration suivie de la visite des officiels, en voici les images :

Cette visite officielle fut aussi l’occasion d’une rencontre entre Madame la Maire d’Audruicq, Madame Nicole Chevalier, David Sagnard président de la FNTR Pas Calais et Guy Manier. Guy Manier est le président du Tacot Club Calaisien qui créa le 1er Salon du Poids Lourd avec la collaboration très active de Mr Robert Carpentier dont David Sagnard est le gendre, mais aussi de Mr Jean Faroux et de la municipalité d’Audruicq.

Madame Nicole Chevalier, maire d’Audruicq. Mr David Sagnard président de la FNTR Pas de Calais. Guy Manier président du TCC lors de la création du 1er Salon.

Le salon étant inauguré, les visiteurs purent profiter des stands, des animations et de rencontrer tous les professionnels du métier que ce soit en ventes de véhicules, de pièces, en formation, assurances…

Les ZFE : évolution de la situation

La FFVE nous a délivré des informations concernant l’es ZFE (Zones à Faibles Emissions). La situation est assez encourageante. Nous vous laissons découvrir ci-dessous le texte de la lettre d’information n°16 concernant ce sujet, et voici également le lien vers une interview (essentiellement sur le même sujet) de Jean-Louis Blanc ainsi qu’une déclaration de Jean-Baptiste Djebbari (ministre délégué chargé des Transports auprès du ministre de la Transition écologique) : www.ffve.org/zones-a-faibles-emissions-zfe.

Chers amis,


Depuis la création des ZFE-m (zones à faibles émissions-mobilité) par la loi LOMe de décembre 2019, la FFVE a œuvré auprès des Métropoles concernées afin de les convaincre d’accorder une dérogation de circulation aux véhicules de collection. Toutes ses actions ont été menées avec le soutien unanime de neuf institutions nationales et internationales qui nous ont accompagné, Plateforme automobile, Mobilians véhicules historiques, FFSA, FFM, ACF, ACO, ACM, FIVA, FIA [commission historique] .
Cette démarche a été couronnée de succès puisque les quatre Métropoles ayant déjà mis en place une ZFE-m (Paris, Rouen, Reims et Nice) ont décidé cette dérogation, et que les projets en cours de consultation (Grand Paris, Strasbourg, Toulouse et Lyon) la prévoient. Nous sommes heureux d’avoir été entendus et remercions ces Métropoles de permettre aux véhicules de collection de circuler librement.
Nous avons poursuivi notre démarche auprès de la Présidence de la République et du
Gouvernement pour les sensibiliser aux enjeux, à la fois patrimoniaux et économiques de la sauvegarde des véhicules de collection. Ces démarches ont reçu un large soutien parlementaire, au Sénat et à l’Assemblée nationale.

Le Gouvernement s’est montré à l’écoute. Cela a conduit à l’engagement pris dans la loi Climat et Résilience de présenter un rapport sur « les modalités de circulation des véhicules de collection dans les zones à faibles émissions mobilité ». La FFVE a été associée à l’élaboration de ce rapport qui conclut à la contribution tout à fait minime des véhicules de collection à la pollution de l’air.
Deux avancées significatives viennent d’être validées par le Président de la République :
• A la demande du Premier ministre, M. Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué chargé des Transports auprès du ministre de la Transition écologique, a invité par lettre les présidents des agglomérations concernées par la mise en place des ZFE-m à mettre en place une dérogation locale pour les véhicules disposant d’un certificat d’immatriculation de collection.
• Le Gouvernement a par ailleurs décidé la création à brève échéance d’une vignette spécifique pour les véhicules de collection afin de faciliter l’application de ces mesures. La FFVE sera associée au groupe de travail sur la mise en place de systèmes de contrôle automatisé dans les territoires ZFE-m.

A l’occasion de la mise en place des ZFE-m, les véhicules de collection ont acquis la
reconnaissance par les pouvoirs publics du patrimoine industriel inestimable qu’ils représentent, de leur importance dans la mémoire nationale, et de l’activité économique qu’ils génèrent.
Continuons tous ensemble de travailler à la défense de notre passion commune.
Bien amicalement

Jean-Louis Blanc
Président de la FFVE

Michel Dubernard : notre ambassadeur 2022

Nous avons annoncé à l’Assemblée Générale que notre ambassadeur pour l’année serait Michel Dubernard. Aussi, nous profitons de cet article pour faire plus ample connaissance avec lui.

La mécanique fait partie de la vie de Michel Dubernard depuis sa plus tendre enfance. En effet, son grand-père était directeur des Mines de l’Escarpelle et, dans cette Cie des mines, il y avait un parc important de véhicules et de locomotives qui intéressait fort le jeune Michel, son père ayant lui aussi des compétences en mécanique. Son père et lui-même sont ingénieurs de formation, son père est issu d’une école d’ingénieurs électriciens de Grenoble (l’IEG) et Michel est issu d’une école d’ingénieurs mécaniciens de Grenoble (école faisant partie de l’INPG non diplômé).

Un autre élément montrant son intérêt pour la mécanique est la passion du Meccano qu’il partageait avec son frère, se lançant dans la construction de téléphériques, de boîtes de vitesses dont il apprend le fonctionnement dès l’âge de 8 ans.

Citroën 5CV 1921

Mais sa passion l’emmène vers l’aéronautique. Sa première expérience en la matière, il la connaît à l’armée. Il est incorporé dans l’Aviation Légère de l’Armée de Terre (ALAT) à Nancy car il a déjà sa licence de pilote avant même d’avoir eu son permis de conduire. Son passage à l’armée dure 24 mois.

C’est l’époque où il « construit » sa première voiture. En effet, il achète deux 2CV (des 375 cm3) accidentées, l’une de l’avant et l’autre de l’arrière. Il coupe les deux châssis en récupérant les parties saines de chacun et les ressoude. Elle portera l’immatriculation 26 AX 59. Il la revend un peu plus tard à un camarade de classe qu’il rencontrera à nouveau par hasard bien des années plus tard aux commandes d’une Caravelle et ce camarade lui rappellera en le reconnaissant la fameuse 26 AX 59. A l’époque, pas d’ANTS, pas de contrôle technique qui cherche un n° de châssis…

Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est img_41971.jpg
Triumph Spitfire 1972

A la sortie du service militaire, Michel dispose de ses brevets et licences de pilote pour hélicoptère et pour avion. Il est sollicité par EdF pour la surveillance des lignes Haute Tension, par la Gendarmerie et par l’IGN (Institut Géographique National). C’est vers l’IGN qu’il se tourne et il se retrouve à effectuer des missions de cartographie en Afrique du Nord sur Boeing B17 (quadrimoteur Bombardier équipé de matériel pour faire des prises de vue au défilé). Les premiers satellites sont lancés en 1966 et les relevés cartographiques par avion s’arrêtent. Il est donc licencié.

Michel décide d’acheter un avion pour faire des photographies pour les Grands Travaux du Nord. Deux ans plus tard, il a un accident assez grave lors d’un décollage par grand vent : l’avion est endommagé et nécessite un an de réparation. Son père lui demande instamment de changer de métier et l’oriente vers le métier d’expert d’assurance. Il exerce aujourd’hui l’activité d’expert de justice.

Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est img_53931.jpg
Rolls Royce Silver Wraith 1946

Ses passions l’emmènent toujours dans le ciel mais c’est à présent grâce aux ballons à gaz. Il sera d’ailleurs un des fondateurs de la fédération française d’aérostation. Il vole et il vole beaucoup. Mais la réglementation évolue et les contraintes réglementaires deviennent telles que les ballons à gaz disparaissent quasiment à la faveur des montgolfières (ballons à air chaud). Il quitte le milieu de l’aérostation en 1992 ; ses enfants continuent, quant à eux, avec les montgolfières (Champions d’Europe en 2007 et du monde en 2008).

Il se cherche une autre passion. Son chemin croise celui des frères Vendiesse, Bruno et Antoine ; ce dernier étant dans le monde des assurances. C’est le déclic et en 1992 : le monde de la voiture de collection s’ouvre à Michel.

Jeep Willys 1942

Son activité professionnelle est très prenante et l’emmène dans bien des pays lointains : Chine, Indonésie, Inde, etc… mais lui permet de capitaliser. Entre autres, c’est son cabinet d’expertise qui sera retenu par le consortium Eurotunnel pour l’expertise du chantier du tunnel, tâche qui durera 14 ans et qui l’amènera à un ensemble d’environ 1800 dossiers. Et il s’achète quelques véhicules qu’il partage avec ses fils, l’un étant expert comme lui, l’autre étant responsable des montages de véhicules dans le monde entier pour Peugeot.

Si nous revenons à des évènements plus proches dans le temps, c’est en 2012 qu’il s’achète une Spitfire MK IV marron glacé de 1972. C’était un retour vers ses jeunes années car il avait eu une Spitfire alors qu’il était jeune homme en 1966-1967. Il se rappelle d’ailleurs d’une anecdote concernant une mésaventure qui lui arriva avec cette première Spitfire. A l’arrêt à un feu tricolore et en galante compagnie, Michel démarre au passage du feu au vert de façon peut-être un peu sèche et voilà que son siège, mal bloqué dans la glissière, recule et qu’il se retrouve les quatre fers en l’air. Plus de peur que de mal, tout se termine bien.

Mercury Park Lane 1957

Ensuite, c’est une Mercury Park Lane de 1957 qui rejoint le garage puis une Ford Thunderbird de 1956. Deux Jeep arrivent aussi : l’une de 1942, une Willys, qui aurait participé au débarquement de 1944, l’autre de 1954 qui est une Hotchkiss à mécanique Ford.

Les Jeep sont ses préférées, elles ont son âge et en particulier à cause de l’interchangeabilité et de la qualité des pièces.

Jeep Hotchkiss 1954

Cette passion des voitures de collection n’est pas venue par hasard. Michel a toujours été proche de la mécanique. Il avait un oncle habitant Breteuil qui était lui-même collectionneur de voitures, quand il y allait il avait le plaisir d’y trouver une Hotchkiss Anjou, une Amilcar CGSS, deux Ford T, une Traction 15 CV 6 cylindres, une Dauphine, une Trêfle…

Son père, sans être collectionneur, faisait de la mécanique. Preuve en est : son père ayant acheté une Traction ; celle-ci, un jour, brûla lors d’une intervention. Son père décida de la reconstruire. Cela prit quelque temps mais il parvint à ses fins, faisant l’ensemble des travaux : mécanique, électricité, sellerie…Une fois le chantier terminé, il est décidé d’aller rendre visite à l’oncle de Breteuil. La Traction tombe en panne à Montdidier. Son père, très prévoyant, avait pris de nombreuses pièces et outils et c’est sur le bord de la route qu’il répare la Traction qui finit par amener toute la famille à Breteuil. Cela marquera Michel qui s’en souvient comme étant le mystère de la voiture réparée par un homme seul en bordure de la route car il avait anticipé la panne. Cet évènement a été très formateur pour Michel car il est survenu dans ses jeunes années, à un âge où on mémorise facilement.

Chevrolet Fleetline 1946

Son frère, marqué aussi par le démon de la mécanique, travailla chez Peugeot puis chez Heuliez en tant que chef du centre de style et, à ce titre, crée la SM Espace équipée d’un toit en deux parties à 7 lamelles chacune et se rétractant électriquement dans un montant central permettant de découvrir les places avant et arrière. Citroën ne donna pas de suite au projet, un deuxième modèle fut réalisé pour Henri Heuliez et resta dans la société jusqu’en 2012, date à laquelle il fut vendu aux enchères et inscrit, à cette occasion, à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. 

article sur la SM Heuliez

C’est dire que nous avons affaire non seulement à un passionné mais, en fait, à toute une famille de passionnés.

Pour revenir à Michel, sa collection se compose aujourd’hui de 9 voitures : la Spitfire MK IV de 1972, la Mercury Park Lane de 1957, la Ford Thunderbird de 1956, la Jeep Willys de 1942, la Jeep Hotchkiss de 1954, la Chevrolet Fleetline de 1946, la Rolls Royce Silver Wraith de 1946, la 5CV Citroën de 1921 et la Chevrolet Nova équipée d’origine en voiture de sheriff.

Chevrolet Nova 1972

Michel réalise l’entretien de ses voitures lui-même. C’est à Pierre Henquenet que nous devons d’avoir accueilli Michel au sein du TCC. C’est avec plaisir que nous le retrouverons bientôt dans nos rallyes.

Ford Thundebird 1958

Les premières immatriculations

Monsieur Balaine, membre du TCC, nous a transmis un document publié par le musée Henri Malartre de Lyon et qui atteste que les premières immatriculations automobiles ont vu le jour à Lyon en 1900.

Voici le texte de ce document :

L’immatriculation des automobiles est née à Lyon, dans le Parc de la Tête d’Or

C’est au grand historien lyonnais de l’automobile, Lucien Loreille, que revient le mérite de cette découverte :

Le tout premier système d’immatriculation des automobiles au monde a été institué en 1900 par le Maire de Lyon, le Docteur GAILLETON, spécialement pour les voitures sans chevaux qui traversaient le parc de la Tête d’Or.

entrée du Parc de la tête d’Or (photo de Mr Duchemin; source Gallica)

Chaque conducteur traversant le parc se voyait remettre, par un garde, à son entrée un gros numéro qu’il devait apposer à l’arrière de sa voiture et à restituer à sa sortie. Ce système permettait l’identification-et la verbalisation- des chauffeurs trop rapides ou dangereux, qui empoussiéraient ou faisaient courir des risques aux promeneurs.

Le 31 Juillet de la même année, sur proposition du nouveau Maire, Victor AUGAGNEUR le Conseil Municipal décida que ce système s’appliquerait de façon permanente à toutes les voitures automobiles dont les propriétaires étaient domiciliés à Lyon, et de façon provisoire aux conducteurs non-lyonnais lors de leur passage en ville.

Bien que très impopulaires (la Presse parisienne, en particulier, fustigea abondamment les élus lyonnais à cette occasion) ces mesures furent étendues à toute la France par décret du Président de la République, Emile LOUBET, du 10 septembre 1901, instituant le premier système national d’immatriculation.

L’application en fut confiée aux Ingénieurs des Mines des 15 arrondissements ou régions minéralogiques de France (d’où l’appellation des « plaques minéralogiques »).

Le système français fit ensuite école en Italie, Belgique, Angleterre, etc…et fut progressivement étendu au monde entier.

Les réserves de la collection Mahy

Après vous avoir mis l’eau à la bouche au travers des 8 photos qui ont servi au concours qui s’est terminé il y a quelques jours, il est temps de vous montrer l’ensemble des voitures qui étaient exposées à Gand et qui ne représentent qu’une toute petite partie des réserves de la collection Mahy. Collection Mahy qui est visible es deux lieux que nous avons déjà visités par le passé : le Musée du Cinquantenaire à Bruxelles et le Musée de l’Auto Mahymobiles à Leuze en Hainaut à deux pas deTournai.

Place aux photos :

Buchet C2, carrosserie maison, 4 cylindres, 1551 cm3, 1923

Le Renault qui servit à ramener bien des voitures trouvées un peu partout en France, pour nombre d’entre elles

Renault DM, carrosserie usine torpédo, 4 cylindres, 2120 cm3, 1913

Maserati A6G2000, carrosserie Allemano, 6 cylindres, 2000cm3, 1954

Mochet CM-125, carrosserie usine, 1cylindre, 125cm3, 1949

Voisin C24, carrosserie usine, 6 cylindres, 2994cm3, 1933

Mercedes 130 H découvrable, carrosserie usine, 4 cylindres, 1300cm3, 1934

Allard Monte-Carlo, carrosserie usine, V8, 5400cm3, 1953

Facel-Véga HK 500, carrosserie usine, V8, 5400cm3, 1960

Aston-Martin DB2 cabriolet, carrosserie usine, 6 cylindres, 2600cm3, 1959

Chrysler ST, carrosserie Ghia, V8, 5400cm3, 1955

Volkswagen 14A, carrosserie Hebmüller, 4 cylindres, 1131 cm3, 1950

Ford V8 Tudor, carrosserie usine, V8, 3662 cm3, 1937

Delahaye 135, carrosserie Van den Plas, 6 cylindres, 3557cm3, 1947

Delahaye 148L, carrosserie Oblin avec un curieux toit en plexi, 6 cylindres, 3557cm3, 1747

Delahaye 135MS, carrosserie Ghia-Aigle, 6 cylindres, 3557cm3, 1948

Alfa Romeo 6C/2500 SS, carrosserie Pininfarina, 6 cylindres, 2443cm3, 1949

Amilcar CGSS, carrosserie usine, 4 cylindres, 1076 cm3, 1927

Eh non, ce n’est pas une Bugatti …C’est une Maurice Badaroux, carrosserie Badaroux, 4 cylindres, 1500 cm3, 1927 avec un étrange écusson de calandre :

La suite dans le prochain article…

Eric Duriez nous a quittés

Nous avons appris le décès de Eric Duriez ce mercredi 15 Décembre 2021.

Eric au rallye des avant-guerre 2019

Eric Duriez, je le connaissais bien, ayant travaillé avec lui chez Roquette pendant quelques années et, l’appréciant, j’avais été ravi de le voir arriver au Tacot Club Calaisien en tout début d’année 2017. C’était un ancien collègue mais aussi un ami. Très rapidement il avait manifesté son souhait de faire partie du Comité du Club et avait été élu à l’Assemblée Générale 2018.

Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est img_0924.jpg
Eric à l’AG 2018

Eric était discret, efficace et fiable. Des qualités qui pouvaient ne pas être perçues immédiatement du fait de sa discrétion mais bien réelles. Il était très apprécié, aussi bien dans le milieu professionnel que dans la vie associative.

Il aimait la voiture ancienne et la pratiquait, n’hésitant pas à partir en vacances avec sa Primaquatre cabriolet ou à participer au Tour de Bretagne.

Il organisait depuis plusieurs années avec Cédric Cerouter et Jacques Lardeur notre Rallye des Avant-Guerre et il s’apprêtait à la préparation de l’édition 2022 que nous réaliserons à sa mémoire.

Le Tacot Club Calaisien présente ses plus sincères condoléances à ses deux fils et à tous ses proches.

Voici le faire-part de son décès :