Les dernières sorties de l’année se profilent à l’horizon. Vous trouverez ci-dessous le programme de l’Amble d’automne qui aura lieu les 11 et 12 octobre. Il est, bien sûr, possible de s’inscrire aux 2 journées ou à une seule des deux.
Le dimanche vous emmènera dans la Flandre quand le dimanche vous fera visiter le Ternois.
Voici le lien du document comportant toutes les informations ainsi que le bulletin d’inscription :
Les 12, 13 et 14 Juillet, le Tacot Club Calaisien est allé passer 3 jours dans le Kent. Ce fut aussi l’occasion de retrouver nos amis anglais avec 4 équipages de leur côté, quand du côté français, ce sont 11 équipages qui s’alignent. Nos amis anglais sont venus en voiture moderne, à l’exception de Mike Griffiths, fidèle à sa Bentley Mulsanne.
Dès le vendredi soir, plusieurs équipages se retrouvent au Logis Cottage Hotel, compte-tenu du départ matinal. La P&O nous fera quelques misères, ou plus exactement les autorités du Royaume-Uni avec un contrôle particulièrement tatillon des passagers et de leurs passeports, tant et si bien que plusieurs équipages doivent prendre le ferry suivant.
La matinée est au choix : visite de la cathédrale ou visite du musée romain. Eh oui, peu d’envahisseurs ont réussi à envahir la Grande-Bretagne mais les Romains y ont laissé beaucoup de traces et dans ce musée, une belle collection d’artefacts est exposée.
Le midi, toute la troupe se réunit pour un déjeuner au Zizzi, n’y voyez aucune malice; en anglais le terme n’a pas la même connotation qu’en français.
L’après-midi est consacré à une visite guidée de la ville de Canterbury avec ses quartiers anciens, ses monuments, ses murailles… Après cela, il est temps de prendre nos quartiers à l’hôtel qui est à quelques minutes en voiture de la ville.
Le soir, retour en ville pour le diner dans un restaurant situé dans l’enclos de la cathédrale.
Le dimanche, il faut faire rouler un peu nos voitures. C’est peut-être aussi l’occasion de vous en parler. Le plateau de voitures que nous avons emmené est très éclectique, tant en âge, qu’en pays d’origine, qu’en type de carrosserie. Je commencerai par les 2 plus anciennes : une Rolls-Royce Phantom II de 1930, une Talbot-London de 1934, puis 3 voitures des années 50: une Traction de 1953, une Studebaker Silver Hawk de 1957 et une Jaguar XK 150, puis 3 des années 60 : une TR3 de 1961, une Morris Minx de 1968, une VW Kharmann Ghia de 1966, puis une Peugeot 504 cabriolet de 1971, une Maserati Indy de 1972 et une Porsche 911 de 1988.
Les voitures se sont bien comportées, à l’exception de la Morris qui a passé une nuit supplémentaire en Grande-Bretagne ainsi que ses passagers avant de rentrer à bon port le mardi 15.
La Kharmann ayant un problème de démarreur, c’est en la poussant qu’on l’a démarrée tout au long du week-end ; fort heureusement, à froid comme à chaud, elle démarrait très bien.
Le dimanche, on repart vers Douvres mais par le chemin des écoliers. Nous y visitons d’abord le musée des Transports de Douvres puis le château de Douvres qui couvre 1000ans d’histoire, on pourrait presque dire deux mille ans car les Romains avaient construit un phare à son emplacement, puisqu’il a des origines remontant au XIème siècle (on pourrait presque dire deux mille ans car les Romains avaient construit un phare à son emplacement) et qu’il a encore été marqué par la 2ème guerre mondiale car c’est dans le château de Douvres que se tenait, entre autres, le poste de commandement de l’opération Dynamo.
La journée a bien sûr été coupée par un déjeuner à Douvres et le soir c’est à Canterbury que le diner fut servi.
Le lundi, on quitte Canterbury pour aller visiter le vignoble de Biddenden et pour y faire une dégustation de 3 vins : 2 blancs et 1 rouge. Après cela, déjeuner à Sissinghurst puis visite des jardins remarquables du château de Sissinghurst. C’est en repartant du déjeuner qu’il faut se séparer de la Morris qui a une roue qui devient beaucoup trop indépendante : 3 boulons sur 4 de la fixation du train avant se sont échappés…
Il ne nous reste plus qu’à retourner jusque Douvres par les petites routes pleines de charme du Kent. Je pense pouvoir dire que la restauration dans les restaurants anglais vaut tout à fait celle qu’on peut trouver en France, qui se dit championne de la gastronomie mais qui ne dispose plus de cuisiniers mais de batteries de fours pour réchauffer des plats venant d’on ne sait où. Tous les repas ont été d’agréables moments de convivialité.
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