Notre 51ème Assemblée Générale s’est déroulée ce dimanche 30 Novembre à l’Espace Tourville à Gravelines où la reconstruction du Jean-Bart se poursuit.
Après un café-viennoiserie, la réunion a pu démarrer à 10h30.
Un hommage a été rendu aux disparus, une pensée à l’égard de ceux qui n’ont pas pu nous rejoindre, un énoncé des nouveaux membres et les sujets traditionnels de l’AG ont ensuite été abordés.
Rapport moral et rapport financier ont été adoptés à l’unanimité, et les 3 candidats sortants ont été réélus, à savoir : Eric Bancquart, Bruno Debove et Yves Roussel.
Deux personnes ont manifesté leur intérêt pour participer aux travaux au sein du comité. Pour leur permettre de valider ce choix il leur est proposé de participer aux prochaines réunions et ayant été cooptées d’ores et déjà par l’Assemblée Générale, elles pourront ensuite, si elles le souhaitent, intégrer le comité. Il s’agit de Patrick Briche et de Sylvie Dubois.
Traditionnellement, c’est lors de l’AG que nous nommons l’Ambassadeur pour l’année à venir : il s’agit de Philippe Valton.
Il faut bien sûr également annoncer le programme de l’année 2026 qui sera le suivant :
32ème Bourse d’échanges le 22 Février
JNVE le 26 Avril
Balade d’Audruicq le 25 Mai
Concours d’élégance à Audruicq le 25 Mai
Sortie surprise le 7 Juin
Sortie des avant-guerre les 27 et 28 Juin
Escapade en Grande-Bretagne les 11, 12, 13 et 14 Juillet
Les 2 Caps le 23 Août
Amble d’automne les 12 et 13 Septembre
Quelques sujets d’actualité complémentaires ont également été abordés, en particulier les règles d’organisation de manifestations,
Cette AG s’est terminée par un repas convivial qui met fin aux activités 2025 du Tacot Club Calaisien.
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L’Amble d’automne s’est déroulé les 11 et 12 octobre derniers, marquant la fin des sorties organisées cette année par le Tacot Club Calaisien.
La plupart des équipages ont participé aux deux journées, tandis que certains avaient, en fonction de leur agenda, choisi le samedi ou le dimanche. Cette sortie est traditionnellement l’occasion de voir nos amis de Grande-Bretagne nous rejoindre.
Ce sont plus de 40 équipages qui ont participé à tout ou partie de ces balades. Les plus anciennes des voitures dataient des années 20 quand les plus récentes étaient des années 90. Pas une panne à déplorer. Le panel allait des voitures populaires : 2CV, 4L.. et accueillait aussi de nobles dames : Bentley, Aston Martin DB2…Un mélange fort réussi de 19 marques françaises, anglaises, allemandes, italiennes, suédoises, japonaises.
Le samedi la Flandre était à l’honneur. Le parcours, assez court, nous a fait visiter la ferme Top qui produit son propre fromage de Bergues. Le cultivateur-producteur de fromage nous a expliqué sa fabrication de ce fromage au goût très agréable, onctueux avec un faible taux de matières grasses, celles-ci étant utilisées pour faire le beurre. La dégustation a favorisé la vente et bien peu d’équipages n’en ont pas acheté.
Après cette entrée en matière, il était temps de se diriger vers le restaurant Chez Léon qui en plus de la restauration est aussi un magasin de brocante.
L’après-midi, la visite était consacrée à la Maison de la Bataille à Noordpeene, bataille dite de la Peene ou de Cassel et qui s’est déroulée en 1677 entre les troupes françaises et les troupes de Guillaume d’Orange, stadhouder des Pays-Bas espagnols. C’est cette bataille qui permit le rattachement à la France de Cassel, Saint-Omer, Ypres…Le guide nous a fait revivre cette bataille avec beaucoup d’intérêt. Le soir, il était aussi proposé un repas en commun dans un restaurant audomarois.
Le dimanche c’est l’Artois que nous avons privilégié. La route était un peu plus longue et le départ a eu lieu à 8h30 pour aller visiter le château de Cercamp, magnifique demeure du XVIIIème siècle, qui est le seul bâtiment restant de l’abbaye cistercienne de Cercamp. Ce bâtiment était occupé par les visiteurs non religieux de leur état. Là encore, visite passionnante, guidée par le propriétaire des lieux.
La suite, c’est le repas à la ferme-auberge de Penin qui est installée dans une ferme dont les bâtiments datent des XVI et XVIIèmes siècles. L’après-midi, il fallait se dégourdir les jambes et c’est un très beau jardin situé à quelques centaines de mètres du restaurant qui fut l’objet de notre intérêt. Une fois de plus, la visite guidée menée par le propriétaire était très intéressante nous faisant découvrir bien des espèces inconnues sous nos cieux.
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Le rallye des Vieux Pneus s’est déroulé le dimanche 7 septembre dernier sous un très beau soleil. Le parcours a emmené les 50 participants sur un parcours le long de la côte depuis Equihen et ses quilles en l’air constituant des habitations très originales et s’est poursuivi tout le long de la baie de la Canche.
Le parcours au départ du village d’Hesdigneul était balisé par un road-book et émaillé de questions et d’objets divers à trouver tout au long du parcours.
Tout cela se déroule bien sûr dans une super ambiance et une tenue d’époque était exigée pour les équipages.
Une pause a permis aux troupes de se retrouver pour l’apéritif à Wierre-au-Bois puis le parcours a repris pour se rendre à l’auberge qui a permis tant aux équipages qu’aux mécaniques de se reposer.
L’après-midi a été consacré à la poursuite du parcours et en fin d’après-midi une exposition des véhicules a presque terminé la journée.
Il restait encore à départager les participants car le questionnaire ne suffisait pas à le faire et c’est un lancer de pantoufles qui a permis d’établir le classement définitif.
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Il ne vous reste que 7 jours pour nous faire parvenir votre inscription à l’Amble d’automne qui aura lieu les 11 et 12 octobre prochains. Ce sera la dernière sortie de l’année…
Ce dimanche matin 24 août, c’est le Dragon de Calais qui, par un soleil radieux, a accueilli les 36 équipages du « Rallye des 2 Caps », la sortie d’été du TACOT CLUB CALAISIEN par le traditionnel café-croissant.
Trois « avant guerre » étaient au départ, dont une AMILCAR centenaire, une SALMSON de 1929 et une CITROËN traction avant 7CV de 1937 ; les nombreux cabriolets ont bénéficié des rayons du soleil, et, parmi les coupés, on comptait une PORSCHE 356, une JAGUAR E, une LANCIA Fulvia.
Le plateau allait ainsi de la 2CV à la BENTLEY, une berline « S » Park Ward construite à 12 exemplaires.
Après une traversée de Calais, puis Guines, Licques, Lumbres, 60 km de routes vertes et vallonnées ont mené ce petit monde à Blendecques pour le repas avant de visiter la Coupole d’Helfaut, avec une visite guidée sur les armes secrètes allemandes. Une dernière sortie aura lieu mi-octobre, l’Amble d’Automne, avec nos amis britanniques.
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Les 12, 13 et 14 Juillet, le Tacot Club Calaisien est allé passer 3 jours dans le Kent. Ce fut aussi l’occasion de retrouver nos amis anglais avec 4 équipages de leur côté, quand du côté français, ce sont 11 équipages qui s’alignent. Nos amis anglais sont venus en voiture moderne, à l’exception de Mike Griffiths, fidèle à sa Bentley Mulsanne.
Dès le vendredi soir, plusieurs équipages se retrouvent au Logis Cottage Hotel, compte-tenu du départ matinal. La P&O nous fera quelques misères, ou plus exactement les autorités du Royaume-Uni avec un contrôle particulièrement tatillon des passagers et de leurs passeports, tant et si bien que plusieurs équipages doivent prendre le ferry suivant.
La matinée est au choix : visite de la cathédrale ou visite du musée romain. Eh oui, peu d’envahisseurs ont réussi à envahir la Grande-Bretagne mais les Romains y ont laissé beaucoup de traces et dans ce musée, une belle collection d’artefacts est exposée.
Le midi, toute la troupe se réunit pour un déjeuner au Zizzi, n’y voyez aucune malice; en anglais le terme n’a pas la même connotation qu’en français.
L’après-midi est consacré à une visite guidée de la ville de Canterbury avec ses quartiers anciens, ses monuments, ses murailles… Après cela, il est temps de prendre nos quartiers à l’hôtel qui est à quelques minutes en voiture de la ville.
Le soir, retour en ville pour le diner dans un restaurant situé dans l’enclos de la cathédrale.
Le dimanche, il faut faire rouler un peu nos voitures. C’est peut-être aussi l’occasion de vous en parler. Le plateau de voitures que nous avons emmené est très éclectique, tant en âge, qu’en pays d’origine, qu’en type de carrosserie. Je commencerai par les 2 plus anciennes : une Rolls-Royce Phantom II de 1930, une Talbot-London de 1934, puis 3 voitures des années 50: une Traction de 1953, une Studebaker Silver Hawk de 1957 et une Jaguar XK 150, puis 3 des années 60 : une TR3 de 1961, une Morris Minx de 1968, une VW Kharmann Ghia de 1966, puis une Peugeot 504 cabriolet de 1971, une Maserati Indy de 1972 et une Porsche 911 de 1988.
Les voitures se sont bien comportées, à l’exception de la Morris qui a passé une nuit supplémentaire en Grande-Bretagne ainsi que ses passagers avant de rentrer à bon port le mardi 15.
La Kharmann ayant un problème de démarreur, c’est en la poussant qu’on l’a démarrée tout au long du week-end ; fort heureusement, à froid comme à chaud, elle démarrait très bien.
Le dimanche, on repart vers Douvres mais par le chemin des écoliers. Nous y visitons d’abord le musée des Transports de Douvres puis le château de Douvres qui couvre 1000ans d’histoire, on pourrait presque dire deux mille ans car les Romains avaient construit un phare à son emplacement, puisqu’il a des origines remontant au XIème siècle (on pourrait presque dire deux mille ans car les Romains avaient construit un phare à son emplacement) et qu’il a encore été marqué par la 2ème guerre mondiale car c’est dans le château de Douvres que se tenait, entre autres, le poste de commandement de l’opération Dynamo.
La journée a bien sûr été coupée par un déjeuner à Douvres et le soir c’est à Canterbury que le diner fut servi.
Le lundi, on quitte Canterbury pour aller visiter le vignoble de Biddenden et pour y faire une dégustation de 3 vins : 2 blancs et 1 rouge. Après cela, déjeuner à Sissinghurst puis visite des jardins remarquables du château de Sissinghurst. C’est en repartant du déjeuner qu’il faut se séparer de la Morris qui a une roue qui devient beaucoup trop indépendante : 3 boulons sur 4 de la fixation du train avant se sont échappés…
Il ne nous reste plus qu’à retourner jusque Douvres par les petites routes pleines de charme du Kent. Je pense pouvoir dire que la restauration dans les restaurants anglais vaut tout à fait celle qu’on peut trouver en France, qui se dit championne de la gastronomie mais qui ne dispose plus de cuisiniers mais de batteries de fours pour réchauffer des plats venant d’on ne sait où. Tous les repas ont été d’agréables moments de convivialité.
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Cette balade des avant-guerre est à présent un incontournable du programme du Tacot Club Calaisien.
Pour cette édition 2025, il avait été décidé de s’éloigner un peu de nos quartiers habituels. C’est à cheval sur le Pas-de-Calais et la Somme que le programme s’est déroulé. La plupart des équipages sont arrivés, par la route ou sur plateau pour les plus éloignés, dès le vendredi soir à l’hôtel qui nous hébergeait pour le week-end à Rang-du-Fliers. Les plus proches nous ont rejoints le samedi matin.
Les voitures présentes représentaient un très beau panel des voitures d’avant-guerre. Nous avons eu le plaisir d’accueillir un Zèbre de 1913, les autres voitures étant des années 20 et 30. Une imposante Panhard sans soupapes de 1923, une Citroën C3, une Chrysler, 3 Mathys : il n’est pas fréquent d’en réunir trois dans une sortie multi-marques, plusieurs Peugeot des séries 01 : 201 berline, 201 cabriolet, 301 coupé, plusieurs Citroën : B12, Rosalie, Traction, une Simca-Fiat, une Renault Primaquatre, une Morris 8, une Hotchkiss, une Georges-Irat… La moitié du plateau étant constitué d’automobiles de marques aujourd’hui disparues.
Toutes ont vaillamment parcouru les 2 journées qui n’ont été marquées que d’une crevaison, une goupille perdue… mais rapidement remplacée sur une rotule de direction, 2 pannes d’essence.
Samedi, la balade nous a amené à Long, petite ville sur la Somme où des activités : promenade sur la Somme, découverte de magnifiques jardins entourant un château XVIIIème siècle avec de très belles serres adossées à la butte portant le château.
Le soir le retour s’est fait à Rang-du-Fliers pour retrouver notre hôtel-restaurant.
Le dimanche, trois visites étaient prévues au programme également. Le matin, arrêt à Rue pour la visite guidée du musée des Frères Caudron, pionniers de la construction aéronautique. Le groupe étant divisé en deux, pendant le même temps l’autre moitié du groupe faisait la visite guidée de la chapelle du Saint-Esprit, merveille du gothique flamboyant du XVème siècle. Cette chapelle doit son importance au fait qu’elle fut le lieu d’un pèlerinage très fréquenté.
Encore quelques kilomètres et nous voilà prêts à déjeuner dans une auberge. L’après-midi, quelques kilomètres de plus et nous voilà à Crécy-en-Ponthieu. Ce village est le lieu d’une des batailles de la guerre de Cent Ans, au même titre que Azincourt. Celle de Crécy a lieu en 1346 quand celle d’Azincourt se déroule en 1415. Les deux batailles sont aussi catastrophiques pour la France. Heureusement, Jeanne d’Arc finira par nous sortir de ce mauvais pas. La visite commentée du Centre historique Crécy la bataille, ainsi que du lieu de la bataille nous ont occupés l’après-midi, notre guide nous brossant le contexte de cette guerre, les techniques de guerre de l’époque, les armes…
Les repas furent l’occasion de bien des discussions autour de nos vieilles montures toujours fringantes.
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Le traditionnel rallye-promenade d’Audruicq s’est déroulé ce lundi de Pentecôte le 9 Juin. Pour renouer avec le passé et, en même temps, rendre hommage à Michel Coënen qui nous a quittés il y a près de 3 ans, le rdv était fixé à Wissant. Pour les plus jeunes, il faut savoir que Michel Coënen était le propriétaire de l’hôtel-restaurant de la Plage à Wissant et qu’en plus de ses activités professionnelles d’hôtelier-restaurateur il était aussi architecte, et qu’il avait deux passions : les flobards et les automobiles anciennes, cette passion se focalisant sur les Citroën.
A ce titre régulièrement nous faisions le départ ou la pause du midi dans cet établissement de l’hôtel de la Plage.Donc, comme dans le « bon vieux temps » le lieu de rassemblement de ce rallye d’Audruicq était l’hôtel de la Plage à Wissant où nous attendaient les GO (gentils organisateurs) pour nous remettre les plaques de rallye, les road-books …et pour nous remettre de ces premiers kilomètres pour rejoindre Wissant, le café-croissant était le bienvenu.
Les véhicules présents : la plus ancienne était une Peugeot 301 D coupé de 1935. Une traction d’avant-guerre l’accompagnait et ensuite on trouvait bien entendu des automobiles des années 50, 60, 70…mais avec un certain nombre de modèles peu courants : une Volvo P1800, une Simca 1000, une Triumph Stag, une Alpine, une Daimler, une Simca Océane, une Simca Plein Ciel…
Le road-book, après nous avoir quelque peu éloignés du but que constituait Audruicq, a fini par nous amener à bon port. Il fallait bien trouver matière à nous poser quelques questions sur les lieux traversés et nous faire découvrir des routes que nous ne connaissions pas.
A l’arrivée à Audruicq, nous attendait le traditionnel apéritif proposé par le club et le temps clément a permis de s’installer pour le pique-nique avant de se retrouver tous vers 16h00 pour le dessert offert par le TCC puis vers 17h00 il était temps de remercier les participants avec la petite réception organisée par la municipalité la remise d’un petit souvenir mais aussi d’une affiche originale datant de 1977 annonçant la 2ème Journée Rétromobile organisée conjointement par le Syndicat d’initiative de Wissant et le Tacot Club Calaisien. Ces affiches sont de vraies collectors car il s’agit d’un stock retrouvé d’affiches de l’époque, sachant qu’en 1977 le TCC avait tout juste 2 ans.
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La JNVE 2025 s’est déroulée le dimanche 27 avril. Par le grand soleil qui nous accompagnait, de nombreuses voitures ont participé à cette journée, certaines pour une heure, d’autres restant presque toute le jour.
Cette année encore, le Cox Opal Club et le Tacot Club Calaisien s’étaient unis pour cette exposition statique. Toutes les époques, tous les genres étaient représentés. De l’américaine, de l’anglaise, de l’italienne, de l’allemande… des années 20, 30, 50,60, 70, 80..Le beau temps a certainement favorisé la sortie des avant-guerre puisqu’on trouvait des représentantes des marques Mathis, Peugeot, Fiat, Austin, Citroën, Ford
Il y avait aussi des motos que je n’ai malheureusement pas photographiées. En particulier, il y avait une Alcyon 350 de 1929 en état irréprochable (Alcyon construisit des motos jusque 1957).
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La 31ème bourse du Tacot Club Calaisien a eu lieu ce dimanche 23 Février.
Une éclaircie dans le temps maussade de ces derniers temps nous a donné une journée assez ensoleillée, favorable à notre manifestation. Dès 8h30, la bourse était ouverte aux passionnés et ils furent nombreux tout au long de la journée. A la fin de la journée, ce sont près de 2400 personnes qui avaient passé les portes de la manifestation.
Le thème de l’exposition centrale était cette fois les Peugeot de la série 01 et couvrait donc les 201, 301, 401 et 601. L’exposition, montée par le club Les Amis des Peugeot 01, permettait d’avoir un aperçu de la variété des différents modèles mais il faudrait plusieurs bâtiments tels que la salle qui nous abrite pour pouvoir exposer toutes les variantes que cette série a comprises, à supposer qu’il en existe encore de toutes les versions. Ces voitures couvrent donc la période de 1929 à 1937 et tous les ans les modèles évoluaient dans leur aspect, ce qui nous amène au-delà des cent versions différentes. La première de la série fut la 201 en 1929 qui fut construite jusque 1937 ; la 301 fut produite de 1932 à 1936 ; la 401 et la 601 eurent une carrière assez courte de 1934 à 1935. Voici celles que vous pouviez admirer ce dimanche à Audruicq :
Peugeot 201 Coupé d’affaires 1931
Peugeot 201 CS Roadster 1932
Peugeot 201 B Berline 1933
Peugeot 201 Coach commercial 1934
Peugeot 301 C Limousine 1932
Peugeot 301 CR Roadster 1934
Peugeot 301 D Limousine 1935
Peugeot 301 D Coupé 1935
Peugeot 401 Coach découvrable 1934
Peugeot 601 C Berline 1934
Les étals de pièces, de documentations, que ce soit pour les voitures ou pour les 2 roues se partageaient l’espace. Les miniatures complétaient ces stands avec les fournisseurs d’outillage, de produits d’entretien…Une exposition complémentaire de cycles et mobylettes occupait la mezzanine. Par contre, cette année, les professionnels tels que selliers, peintres, carrossiers…nous ont fait défaut.
Quelques exposants avaient choisi l’extérieur, choix assez heureux compte tenu de la météo agréable.
Le parking des voitures de collection vit le passage de près de 300 véhicules différents et s’est retrouvé saturé en fin de matinée.
Cette belle journée de bourse est à mettre à l’actif de tous les bénévoles du Tacot Club Calaisien ainsi qu’aux épouses de certains membres qui ont oeuvré tout le week-end pour cette belle manifestation.
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